Le Minimum Advertised Price (MAP) est un prix minimum que les revendeurs sont tenus de respecter lors de la publicité de produits de certaines marques. Ce prix est généralement fixé par les fabricants et est destiné à protéger les marges bénéficiaires des revendeurs et à maintenir l’image de marque de la société.
Le MAP peut être défini de différentes manières.
Certains fabricants peuvent fixer un prix unique pour tous les revendeurs, tandis que d’autres peuvent définir des prix différents selon les canaux de distribution ou les régions géographiques.
Dans certains cas, les fabricants peuvent également autoriser des offres promotionnelles, comme des coupons ou des codes de réduction, qui peuvent être utilisés pour offrir des prix inférieurs au MAP de manière temporaire.
Il est important de noter que le MAP est uniquement destiné à réglementer la publicité des prix et ne s’applique pas aux transactions de vente réelles.
Les revendeurs sont libres de fixer leurs propres prix de vente, tant qu’ils ne les annoncent pas publiquement à un prix inférieur au MAP.
Cependant, les fabricants peuvent avoir des accords avec les revendeurs qui leur interdisent de vendre en dessous du MAP, même si cela n’est pas annoncé publiquement.
L’utilisation du MAP est assez courante dans de nombreux secteurs, tels que l’électronique grand public, les jouets, les articles de sport et de plein air, et même certaines marques de mode.
En général, le MAP peut être un moyen efficace pour les fabricants de protéger leurs marges bénéficiaires et de maintenir l’image de marque de leurs produits.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le MAP est de plus en plus important aux États-Unis et pourrait l’être en Europe. Tout d’abord, la concurrence sur les marketplaces en ligne est de plus en plus féroce, ce qui peut inciter les revendeurs à réduire leurs prix de manière agressive pour attirer les clients. Les fabricants peuvent utiliser le MAP pour limiter cette guerre des prix, protéger leurs marges bénéficiaires et promouvoir une compétition équitable entre les canaux de distributions.
Deuxièmement, de nombreux fabricants sont de plus en plus préoccupés par la protection de l’image de marque de leurs produits. Le MAP peut être utilisé pour empêcher les revendeurs de dégrader l’image de marque en proposant des prix trop bas, qui pourraient être perçus comme une indication de qualité inférieure.
Enfin, le MAP peut être un moyen efficace pour les fabricants de maintenir un niveau de prix similaire entre les différents revendeurs, ce qui peut aider à éviter la confusion des consommateurs et à maintenir l’image de marque de manière cohérente, tout en permettant aux petits revendeurs de concurrencer les plus gros.
Le MAP est-il en train de devenir de plus en plus courant en Europe ?
Presque habituel aux Etats-Unis, le prix minimum annoncé devrait s’imposer dans les années à venir en Europe, sauf si la législation de la concurrence l’en empêche ?
En France et dans l’Union Européenne, les pratiques de politique de prix publicitaires minimum (MAP) sont généralement considérées comme illégales en vertu de la législation de la concurrence.
Selon l’Autorité de la concurrence française, lorsque les revendeurs sont obligés contractuellement de ne pas afficher un prix de détail en dessous du prix de revente recommandé, cela limite leur liberté commerciale et leur capacité à attirer en faisant la publicité de prix réduits.
Ces types de clauses sont considérés comme une « infraction à la concurrence par objet » car elles limitent ou distordent la concurrence des prix.
En France et dans l’Union Européenne, les pratiques de politique de prix publicitaires minimum (MAP) sont généralement considérées comme illégales en vertu de la législation de la concurrence.
Selon l’Autorité de la concurrence française, lorsque les revendeurs sont obligés contractuellement de ne pas afficher un prix de détail en dessous du prix de revente recommandé, cela limite leur liberté commerciale et leur capacité à attirer en faisant la publicité de prix réduits.
Ces types de clauses sont considérés comme une « infraction à la concurrence par objet » car elles limitent ou distordent la concurrence des prix.
L’Autorité de la concurrence française a récemment infligé une amende de 1,4 million d’euros à Mobotix (un fabricant de caméras de surveillance vidéo) et plusieurs de ses grossistes pour avoir convenu de fixer les prix de revente (à travers une politique de prix publicitaires minimum, donc MAP) et pour avoir restreint les ventes en ligne.
Selon la décision de l’Autorité, les accords de Mobotix avec ses grossistes ont exigé que ces derniers ne publient pas de prix inférieurs aux prix de revente recommandés (appelées « politiques de prix publicitaires minimum » ou « MAP policies »).
Mobotix a également demandé à ses grossistes de veiller à ce que les revendeurs respectent les prix de revente minimum.
L’Autorité de la concurrence Française confirme ainsi qu’en France et en Europe, les politiques de prix minium sont très encadrés et beaucoup plus strictes qu’aux Etats-Unis, allant jusqu’à interdire et condamner les pratiques comme celles de Mobotix, les jugeant anticoncurrentielles.
L’Autorité de la concurrence française a récemment infligé une amende de 1,4 million d’euros à Mobotix (un fabricant de caméras de surveillance vidéo) et plusieurs de ses grossistes pour avoir convenu de fixer les prix de revente (à travers une politique de prix publicitaires minimum, donc MAP) et pour avoir restreint les ventes en ligne.
Selon la décision de l’Autorité, les accords de Mobotix avec ses grossistes ont exigé que ces derniers ne publient pas de prix inférieurs aux prix de revente recommandés (appelées « politiques de prix publicitaires minimum » ou « MAP policies »).
Mobotix a également demandé à ses grossistes de veiller à ce que les revendeurs respectent les prix de revente minimum.
L’Autorité de la concurrence Française confirme ainsi qu’en France et en Europe, les politiques de prix minium sont très encadrés et beaucoup plus strictes qu’aux Etats-Unis, allant jusqu’à interdire et condamner les pratiques comme celles de Mobotix, les jugeant anticoncurrentielles.
L’Autorité de la concurrence française a récemment infligé une amende de 1,4 million d’euros à Mobotix (un fabricant de caméras de surveillance vidéo) et plusieurs de ses grossistes pour avoir convenu de fixer les prix de revente (à travers une politique de prix publicitaires minimum, donc MAP) et pour avoir restreint les ventes en ligne.
Selon la décision de l’Autorité, les accords de Mobotix avec ses grossistes ont exigé que ces derniers ne publient pas de prix inférieurs aux prix de revente recommandés (appelées « politiques de prix publicitaires minimum » ou « MAP policies »).
Mobotix a également demandé à ses grossistes de veiller à ce que les revendeurs respectent les prix de revente minimum.
L’Autorité de la concurrence Française confirme ainsi qu’en France et en Europe, les politiques de prix minium sont très encadrés et beaucoup plus strictes qu’aux Etats-Unis, allant jusqu’à interdire et condamner les pratiques comme celles de Mobotix, les jugeant anticoncurrentielles.
Il est important de noter que le MAP est un sujet controversé, et qu’il peut y avoir des tensions entre les fabricants et les revendeurs quant à son utilisation. Les fabricants doivent être attentifs aux réactions des revendeurs et être prêts à ajuster leur politique de MAP si nécessaire.
Aujourd’hui, les politiques de prix publicitaires minimum sont interdites en France et en Europe, ce qui n’empêche pas de proposer différents tarifs selon ses clients ou distributeurs.
Avoir une tarification adaptée selon son distributeur, pouvoir lui communiquer rapidement et de manière complète peut être chronophage et les erreurs ne sont pas impossibles.
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